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S'il suffisait...

2 mars 2015

On prend les mêmes et on recommence...

Je tourne en rond, inlassablement. Je suis fatiguée de cette lutte permanente.

J'aimerais pouvoir tout lâcher, m'enfoncer dans le trou béant qui m'appelle, laisser cette vague sombre m'emporter. Loin. J'aimerais ne plus me haïr, ne plus me lever, ne plus mentir, ne plus pleurer. J'aimerais ne plus culpabiliser, ne plus penser, ne plus me plaindre, ne plus crier, ne plus être.

Mais je ne peux pas. Je n'ai d'autre choix que de continuer, pour eux. Et pourtant dieu sait à quel point je me sens mauvaise mère et inutile auprès d'eux. Mais je reste leur mère. Quoi qu'il en soit.

Une partie de moi me hurle souvent qu'ils seraient tellement mieux si je n'étais pas là. Et puis la raison me répète qu'une mère ne se remplace pas. Quelle qu'elle soit. Alors je reprends mon chemin, repassant encore et encore sur mes propres traces...

Je dois être forte.

Hier soir, mon aîné fondait en larmes en rentrant de chez son père, avec comme discours terrible "je me dis que je ne devrais pas vivre". Une lame tranchante est alors entrée dans mon coeur de maman, avant de me vriller les tripes d'une culpabilité glaciale. Les larmes me sont montées aux yeux avant que je n'arrive à calmer ma propre douleur et être capable de panser la sienne. Je lui ai dit à quel point je l'aimais... Que quelques soient ces bêtises, nous l'aimions forts, qu'il faisait autant partie de la famille que n'importe lequel d'entre nous. Bref, j'ai tenté tant bien que mal de remplir son coeur d'amour... Et puis... Plus tard lorsqu'il était couché, et après une grosse dispute de couple, j'ai pleuré. Longtemps. Comme une enfant.

Ces mots, ces pensées ne devraient jamais atteindre l'âme d'un enfant de 10 ans. Le poids de la vie devrait être aussi légère qu'une plume et non une chape de plomb. C'est impensable... Mon enfant. Ma chair.

C'est pour cette raison que je n'ai pas le droit de baisser les bras. Parce que je dois lui souffler la vie, l'amour afin qu'il reprenne confiance. Qu'il sente dans son ventre l'importance de sa vie. Et ce n'est pas en refusant la mienne que je pourrai l'aider.

Je ferai au mieux. En essayant de ne pas m'abandonner. Pour eux.

 

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26 février 2015

Un nouveau départ

Il y a des fois, sans trop savoir pourquoi, les choses changent. La vision de ce qu'on veut, de ce qu'on peut, évolue, grandit. Du jour au lendemain parfois.

C'est ce qu'il s'est passé pour moi mardi... Levée pleine d'une culpabilité énorme combinée à une motivation particulière, j'ai décidé de vraiment faire un effort sur ma consommation. Je ne veux plus de cette épée de Damoclès au-dessus de ma tête chaque jour. Je ne veux plus de cette culpabilité immonde à chaque verre. Je ne veux plus être une autre lorsque je dérape un peu trop. Je ne veux plus décevoir mes proches.

C'est effrayant, je ne le cache pas. Je lâche une béquille sans trop savoir par quoi la remplacer mais je dois le faire. Pour mes enfants surtout... Par chance, je suis bien entourée depuis que j'ai débuté mon suivi au centre d'addiction. Je vois à tour de rôle un médecin spécialisé, une psychologue et une éducatrice. Autant dire que le soutien est là.

Bizzarement, depuis que j'avais entrepris cette démarche, j'avais lâché du lest et fait bien moins d'efforts qu'auparavant avec un peu l'idée utopique que maintenant, quelqu'un allait me sortir de là, qu'on me trouverait une solution miracle. Mais je dois bien me rendre à l'évidence, la seule personne qui fera changer les choses, c'est moi. Rien ne sert de croire à une magie quelconque ou même un traitement médicamenteux, la seule à pouvoir agir, c'est moi.

C'est compliqué parfois de se rendre compte qu'on est seul maître à bord et qu'il va falloir se battre chaque jour, se poser les bonnes questions et prendre les bonnes décisions. C'est tellement plus simple de se laisser périr... Simple pour soi, oui, mais pas pour les autres. Et ces autres-là, ce sont surtout mes enfants... Ils méritent bien plus qu'une mère qui se laisse mourrir à petit feu par trop de lâcheté.

Je sais qu'il y aura des ratés, c'est quasiment obligatoire mais comme me disait l'éduc hier, ces ratés m'offriront aussi la possibilité d'apprendre, de me connaître et déceler les moments, les situations plus difficiles à gérer et donc permettre de découvrir des moyens de les détourner. « Notre plus grande gloire n'est point de tomber, mais de savoir nous relever chaque fois que nous tombons. » disait Confucius.

 

21 février 2015

Finalement, ils retrouvent leur place...

Eh oui, je me rends compte que cette habitude d'expression me manquait terriblement. Et quelques heures à peine après mon dernier message, je suis de retour.

Je n'ai pas forcément grand chose a dire, mais le seul fait d'avoir un lieu ou poser ne serait-ce quelques mots me fait du bien.

La communication. Voilà le mot. Voilà ce qui me manque tant. Entre autre...

Bientôt 4 ans que je connais mon mari. On s'est connu sur internet donc autant dire que nous partagions, que la communication était obligatoire et j'aimais tant ça. J'aimais ces heures partagées. J'aimais cette proximité malgré la distance...

Pui nous avons emménagé, puis les fausse-couches, et finalement la grossesse qui nous a offert ce petit être... Mais nous avons perdu ce petit quelque chose que j'aimais tant. J'ai perdu ces partages, cette ecoute... J'ai perdu ce qui me plaisait le plus en nous... Tres rapidement la vie a pris le dessus, les non-dits aussi. Le silence s'est installé, malgré nous. Et nous avons avancé ainsi, sans trop se rendre compte. Par ces "il faut" dont je parlais il y a peu. 

Mais le manque est là. Intense. Destructeur. Il ronge ce qui nous liait petit à petit, jour après jour...

Je regrette ces premières semaines d'échange... Aujourd'hui je me sens étrangère parfois. Incomprise souvent.

Est-ce seulement possible que cela revienne un jour ou dois-je tirer un trait sur ce lien qui nous liait et qui semble disparu depuis longtemps?....

21 février 2015

Selon ses conseils...

Aujourd'hui j'essaie de suivre l'ordonnance de mon médecin, soit prendre le temps pour retrouver ce qui faisais de moi qqun de vivant: L'expression. 

Ecrire, peindre, faire du sport, voilà la fameuse ordonnance que je dois suivre et bien que cela semble ridiculement facile à mettre en pratique, il s'avère qu'il n'en est rien...

Je suis seule aujourd'hui chez moi, avec seul mon fils cadet comme compagnie. Il est à la sieste et je m'étais promis de prendre ce temps à ce moment-là. Alors me voici sur mon cher ordinateur, tapant sur ces touches qui me semblaient si familières il y a encore quelques années. Et pourtant je ne sais pas vraiment ce que je dois en faire. A force de silence j'ai perdu la facilité de jouer avec les mots. Ecrits. Oraux. Quelqu'ils soient, les mots se sont enfuis, laissant là un immense silence, un vide intense.

Hier je passais mon entretien annuel au travail et bien que ce fut plutôt positif, il en est ressorti que je suis trop peu sure de moi, qu'il me faut prendre de l'assurance afin de développer mes aptitudes, afin de mieux gérer les projets qui me sont confiés. Finalement, cette estime de moi équivalente à zéro me poursuit dans tous les plans de ma vie. Elle se voit sur mon corps, dans mes gestes, dans mes silences et mes regards. 

Bien sur que j'aimerais être capable de croire en ce que je pense, en ce que je suis. J'aimerais pouvoir m'exprimer en groupe sans cette angoisse de me faire contredire et ne pas savoir réagir. Parce qu'il suffit que je pense blanc et que quelqu'un pense noir pour que je me sente idiote et que je me taise. 

On en discutait avec le médecin et je lui expliquais par exemple que lors de la phase "je suis charlie", je n'étais pas dans les rangs, je n'étais pas ce Charlie mais je n'ai pas osé le dire. Je n'ai pas osé dire que je trouvais l'idée de base louable mais que cet engouement n'était qu'un buzz, que oui il y avait eu des morts, que la liberté d'expression avait été touchée et que c'était dramatique. MAIS. Ce "mais" là, je ne l'ai pas dit.

Le "mais" qui voulait dire que je ne comprenais pas pourquoi les gens se déplaçaient de tous horizons pour clamer un "je suis charlie" ce jour-là, pour cette cause-là alors que bien d'autres drames bien plus "importants" en terme de pertes humaine ou en terme d'éthique se passaient chaque jours.

Une semaine à peine auparavant, une école au Pakistan avait été la cible d'une tuerie, ôtant la vie a plus de 130 enfants/jeunes. Idem pour le massacre de Baga au Nigeria, 2000 personnes. Et là, personne ne s'indigne. Personne ne se lève en brandissant une pancarte "je suis untel". Et ça, je ne l'accepte pas. 

Mais tout ça, je ne l'ai pas dit. Simplement parce que la masse pensait différemment. Alors lors des discussions sur le sujet, et dieu sait combien il y en a eu, je suis restée muette. Par peur d'être contredite, de devoir trouver des arguments que je n'aurai pas. Parce que je n'avais pas envie de douter de ce que je ressentais, simplement.

Bref, tout ça pour exemple de ce que je vis quotidiennement. Que ce soit dans mes relations amoureuses, sociales ou professionnelles. Le silence.

Je ne sais pas exactement d'ou vient de manque d'estime. Enfin si, une conséquence de beaucoup d'évènements, de rencontres, de mots malheureux. 

Une enfance/adolescence ciblée sur le fait que j'étais "belle". J'étais la jolie fille, avec son air hautain qui n'était qu'une protection. J'étais cette jolie fille qu'on regarde mais qu'on écoute pas. Le départ de mon père, puis le mannequinat qui n'ont pas aidé. 

S'en est suivi la relation destructrice avec la père de mon fils aîné. Devastatrice. Et puis le reste... Les abus, les violences diverses. Tout un ensemble de choses qui, petit à petit, ont effrité ce petit bout de moi...

Et bien je vois que finalement, les mots retrouvent facilement leur chemin... 

18 février 2015

Hier je rencontrais pour la deuxième fois le

Hier je rencontrais pour la deuxième fois le médecin qui me suit au travers du centre d'addiction et pour la première fois depuis longtemps, quelqu'un a su mettre des mots sur ce qui m'échappe.

Pour quelle raison est-ce que je m'évertue à me détruire? Pourquoi, alors que pour beaucoup, ma vie a tout pour être parfaite, je continue à me sentir si mal? Pourquoi donc mon couple, si stable et tranquille en apparence, ne me convient-il pas?

Et puis, quelques mots, quelques questions avant de se rendre comte d'une évidence que je ne voulais pas voir: Je ne vis plus, je survis pour les autres. Je ne me lève que parce qu'il faut. J'agis pour les "je dois", pas pour les "je veux". Mon estime, à force est devenu un trou béant.

Malgré toutes mes péripéties aurapavant, malgré mes douleurs, j'avais MES moments, MES plaisirs. La danse pendant plus de 10 ans, le sport en général, l'écriture depuis 15 ans, la peinture aussi. J'ai tout abandonné pour une vie de famille que je pensais suffisante et épanouissante. Petit à petit, je me suis fermée à tout ce que j'aimais et me suis mise à agir en robot. Pour mon boulot, mon mari, mes enfants.

 

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13 février 2015

Et encore...

Et j'écris... Encore. Parce que je ne peux plus me taire. Il est arrivé ce soir, me demandant de lui parler. J'essaie. Je dis une partie, ce pourquoi je me suis terrée dans le silence une fois encore hier, puis me tais. Je n'arrive plus. Je n'ai plus confiance en son écoute... C'est triste a dire... Chaque fois c'est pareil. Quand je n'en peux plus, je craque et m'énerve puis me renferme, le temps de prendre le boomerang. Puis il revient le lendemain, plein de promesses... De remord peut-être... Ou de peur que je parte aussi. Car il sait que je suis capable de ça. Ma seule "fierté". Être partie du jour au lendemain, un enfant de 14 mois sous le bras, sans appart ou autre. Un boulot à mi-temps, les services sociaux à la clé, qu'importe, je suis partie et jamais revenue... Et je serai capable de le refaire, malgré les années de galère qui ont suivi. Il doit le savoir... Chaque jour qui passe je me déteste un peu plus... Aujourd'hui plus qu'hier et moins que demain dit-on???
13 février 2015

...

Je chute... Je sombre et me tais un peu plus chaque jour devant le manque de communication qui m'entoure. Alors je me détruis, de façon complètement idiote et infantile je le sais mais ne peux m'en empêcher.
Mes mots/maux ne me semblent jamais légitimes, alors je garde mes rancœurs, mes blessures pour moi. Dans le couple je suis celle qui se tait. Tellement peu sûre de moi, lorsque je me risque à un reproche, il suffit qu'on me tienne un discours inverse et je me mure dans le silence. Je garde et prends sur moi. De toutes façons, si dans son esprit c'est ma faute ou j'ai tort, c'est qu'il a raison. Forcément. Je ne me bats jamais.... Je me tais, me ferme et c'est tout. Je ne sais faire autrement.
Et plus le temps passe et plus cela s'avère réel...
Je consulte de nouveaux psy dernièrement pour ma consommation d'alcool et me rends compte que je sombre littéralement depuis la rentrée des vacances... Mais pourquoi? Je n'arrive pas à trouver l'élément déclencheur si ce n'est l'arrêt des médocs donc la chute morale mais la reprise a suivi de peu...
Je ne sais pas... Depuis j'ai repris du poids, 6kg. Et bien que pour bcp cela signifie un mieux-être, il n'en est rien... C'est juste que je bois plus, donc je mange plus.... C'est navrant....

3 janvier 2015

2015 ou l'espoir d'un renouveau

Comme d'habitude, la nouvelle année me donne l'espoir utopique que quelque chose va changer en même temps que le chiffre de l'année...

C'est un peu pathétique mais cela me permet de continuer...

 

Et pourtant, malgré les années, je reste la même, toujours aussi torturée par mes démons, par des idées idiotes, par un idéal impossible...

 

J'ai peu écrit ces derniers temps, voir ces 2 dernières années, non par manque de soucis, de loin pas, mais parce que je me suis terrée dans ma solitude, incapable de mettre des mots sur mes maux. Depuis mon éloignement des forums et autres, j'ai perdu l'habitude de partager ici et ailleurs.

 

J'ai un mari, deux meilleures amies, une famille mais je ne sais plus exterioriser. Je me tais.

 

Avant j'écrivais. Sans arrêt, comme un geste impulsif, un besoin de hurler en silence. Puis plus rien. Le vrai silence... Pesant.

 

Et pourtant, rien est résolu. Je vomis, par moment plus que d'autres, Et je bois, encore. J'ai toujours mes rv avec ma psy, mon antidé, plus un suivi au niveau de l'alcool tout nouvellement débuté dans un centre adapté.

 

Ce début de janvier est compliqué. Partagée entre le "mieux-être" environnant et mon "mal-être" personnel... Je vis sans vivre vraiment. 

 

Pourtant le tableau n'est pas si sombre au final, mais j'ai du mal à en voir les couleurs....

25 août 2014

Un cri

4 blogs, 15 ans passés à bord d'une montagne russe sans fin. Des hauts, des bas, des plats... Ces derniers 3 ans, un mariage, des enfants, une maison, un travail, parsemés ici et là de vacances... Les sursaut du manège restaient présents, selon les périodes mais je pouvais lacher les mains sans risquer de tomber trop bas.

Et puis voilà. Il a suffit d'un rien, d'un grain de poussière dans la machine, si fine et invisible que je ne sais même pas d'ou elle vient. Le grand huit repart de plus belle, grinçant, droit vers une chute vertigineuse qui ne s'arrête plus...

Toutes ces métaphores inutiles pour expliquer plus poétiquement que je vais mal... Voilà longtemps que je ne m'étais pas retrouvée dans un état aussi limite. Avec cette envie inéluctable de fuir, de partir le plus loin possible dès que je me retrouve seule en voiture. De fuir ou et pour faire quoi? Franchement je n'en sais absolument rien. Je n'ai rien à faire ailleurs. Pas plus qu'ici. Alors j'essaie de conduire en état d'automatisme, en prenant les mêmes routes que d'habitudes, pour être sure de me diriger au travail ou chez moi, et non sur des routes qui me méneraient loin, mais nulle part à la fois.

Et puis ces larmes, sans arrêt au bord de mes cils. Sans aucune raison apparente... L'angoisse et la tristesse me serrent le coeur sans que je ne sache pourquoi et puis elles montent... Foutues larmes. Je les retiens comme je peux parce qu'elles n'ont rien à foutre là.

Ma vie est "belle", riche d'amour et je n'ai pas de souci majeur. Je suis mariée à un homme aimant. Qui a ses défauts bien sur, mais qui ne sont de loin pas handicapants. J'ai un grand fils intelligent et adorable de 10 ans, un petit bout d'un peu plus d'un an qui me comble et me rends fière. J'ai un boulot, un toit. Bref, beaucoup diraient que j'ai tout et ils n'auraient pas tort.

Alors pourquoi?

Pourquoi ce mal-être intense? Cette boule de rage et de douleur au fond de mon ventre?

Les TCA en profitent pour hurler plus fort, l'appel de l'alcool aussi. Alors je bois, pas énormément d'un coup, mais un petit peu souvent. Et puis je ne mange plus, ou pas correctement. Encore moins qu'avant. IMC de 17,8 j'ai vu pire....

J'ai l'impression d'avoir 100 ans. La fatigue d'une longue vie dans mon corps et dans ma tête. 70 ans de trop. Allez comprendre!

Je ne sais pas. Honnêtement, je ne comprends pas ce qu'il s'est passé en 2-3 petites semaines. Oui j'ai arrêté puis repris mes antidépresseurs mais de là à chuter pareillement??! J'ai l'impression de glisser irrémédiablement vers le fond. Je m'accroche à l'idée que c'est cet arrêt des médocs qui crée cette situation et que bientôt, tout ira mieux. Au moins comme avant.

C'était pas la sérénité absolue mais c'était mieux, je ne me sentais pas en danger. Je survivai avec des moments géniaux et d'autres simplement un peu plus difficiles. Une relative normalité en soit (sans parler des TCA qui eux, ne m'ont jamais vraiment lâchés)

Mes proches ne voient qu'à moitié ce qu'il se passe. Et en même temps, que pourraient-ils faire? Je ne peux pas me mettre en arrêt de travail sans prendre le risque de le perdre. Je ne peux pas me faire suivre plus fréquemment qu'actuellement car je paie mes rv de ma poche et n'ai pas les moyens de prendre plus qu'un rendez-vous par mois. Alors quoi faire? Si ce n'est attendre et espérer que cela passe avant qu'un réel pétage de plombs n'aie lieu...

Je suis franchement perplexe et perdue devant cette monstruosité qui a repris ces droits...

 

PS: Mes deux derniers blogs, si vous avez du temps à perdre

http://unboutderien.canalblog.com/

http://uneviesansfaim.canalblog.com/

 

 

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